Sectes 2.0

Internet est devenu le nouveau moyen de diffusion et de recrutement d'adaptes pour les sectes, et les réseaux sociaux sont utilisés pour échanger des messages apocalyptiques, ainsi : "de plus en plus de gourous utilisent la Toile pour diffuser des messages apocalyptiques et propager leur vision du monde." [1].

Les gourous cybernétiques créent des sites Internet de type New Age pour faire leur propagande apocalyptique, ainsi : "En France, comme ailleurs, la diffusion des messages apocalyptiques par Internet, essentiellement de type new age, est en pleine expansion, notamment par le vecteur des réseaux sociaux, des blogs ou des forums de discussion." [1].

Le courant spirituel New Age, qui s'est développé depuis les années '60 est caractérisé par "une approche individuelle et éclectique de la spiritualité", et "sert de catégorie pour un ensemble hétéroclite d’auteurs indépendants et de mouvements dont la vocation commune est de transformer les individus par l’éveil spirituel et par voie de conséquence changer l'humanité." [2].
 
C'est un mouvement composé de nombreuses communautés et courants de pensée dont certains ont évolués vers des dérives sectaires comme en atteste la MIVILUDES (commission de l'Assemblée Nationale sur les dérives sectaires) [2].

Sur Internet, le risque d'emprise sur des personnes fragiles ou vulnérables est donc bien réel, et le profil de ces gourous cybernétiques va des sectes bien établies à des petits groupes d'individus en passant par des blogs d'individus isolés : "Leur nombre est impossible à déterminer tant l'offre du Net est multiple et variée." [1].



Croyances et dérives sectaires sur le web - Présentation Festival Vidéosciences [FVS2017] - Café des Sciences

Par ailleurs, pour certains le transhumanisme et la Silicon Valley sont empreints d'une forme de dérive sectaire qui vise à concentrer les capitaux financiers dans des projets d'utopies transhumanistes à caractère gnostique qui dépeint l'espoir d'une vie éternelle à des hyper-riches [3].

Ainsi : "Ray Kurzweil, ingénieur en chef chez google claironne parmi d’autres prophéties que le premier homme qui vivra 1000 ans est déjà né, et que google créera une machine omnisciente (comme Dieu) qui pourra nous guider (comme Dieu ou ses prophètes) vers le salut universel dans moins de 40 ans !" [3]

Et la critique de l'idéologie de la fin du monde qui anime le transhumanisme va plus loin, en effet pour Interstrate.com : "Le transhumanisme est effectivement un patchwork de concepts pseudo-spirituels tirés de lectures très libres de Nietzsche, Darwin, et de morceaux épars de tout ce qui constitue le new-age: gnosticisme, ésotérisme, religions bricolées… Voilà la nouvelle forme d’eschatologie, superstructure, idéologie qui s’exprime dans tout notre environnement culturel (films, séries, développement personnel, cybernétique, science fiction, etc.), destinée à normaliser, à naturaliser, à faire advenir le transhumanisme." [3]

Le discours utopiste du transhumanisme plaît, tant aux riches qu'aux autres, et il parvient à mobiliser la science au travers des start-up et des universités, financés par ces hyper-riches qui espèrent peut-être gagner la vie éternelle. Ce qui fait dire à Interstrate.com que : "Le transhumanisme, avec les croyances sectaires et post-rationnelles de la Silicon Valley, est devenu la pointe et la locomotive de l’activité scientifique!!!" [3]

La critique envers le transhumanisme comme étant un mouvement sectaire peut paraitre un peu exagérée. En effet, il ne sagit que d'améliorer notre confort de vie, notre santé, nos performances intellectuelles grâce à la technologie. Néanmoins, il est important de souligner que : "Pourtant le rêve transhumaniste est par essence élitiste, eugéniste, et il présuppose logiquement l’advenue d’une société de castes, entre les augmentés et les non-augmentés, les immortels, et les non-immortels, ceux qui auront les moyens, et les autres." [3]

Ainsi, les gourous de la Silicon Valley sont devenus les nouveaux prophètes d'un monde pris entre la crainte de son effondrement et son espoir solutionniste de tout nos malheurs.

Il est utile de se rappeller que le gourou est défini par Patricia Birman comme : "un personnage dont le pouvoir s’établirait à partir d’une capacité particulière à soumettre complètement, à sa volonté, la subjectivité de ses victimes et aliéner ainsi leur autonomie d’action. Le “lavage de cerveau” et ses variantes furent désignés comme l’instrument principal de son action." [4].



Les réponses aux dérives sectaires - Tronche en Live #33 - La Tronche en Biais  

Les effets du lavage de cerveau peuvent être de ne plus être comme avant, "d'être vidé", et de ne plus savoir entretenir de dialogue avec son entourage. Le dialogue y serait remplacer par un language inconnu de propagande de la secte avec un comportement "robotique". 

Les nouvelles technologies et la cybernétique peuvent être utilisées par les sectes. Ainsi, Yves Lecerf, linguiste de l’université de Paris VII, étudia dans les années '80 le language artificiel en usage dans les sectes, et élabora un logiciel conversationnel baptisé "apôtre automatique" qui pouvait simuler des conditionnements religieux sectaires, ainsi : "Selon lui, ce programme avait une double finalité : d’un côté exposer, de manière didactique et pour différents auditoires, la manière de fonctionner d’une machine capable de produire des réponses programmées par un agent extérieur (et comme si elle faisait elle-même ses propres “choix”) ; en second lieu tester les vocabulaires en usage dans les sectes et autres institutions totalitaires de façon à démontrer le caractère limité et fermé de ces langages codés." [4].



[1] Atlantico.fr, "Sectes 2.0 : quand les gourous recrutent leurs fidèles sur Internet", https://www.atlantico.fr/decryptage/475252/sectes-quand-les-gourous-recrutent-leurs-fideles-sur-internet-georges-fenech
[2] Wikipédia, "New Age", https://fr.wikipedia.org/wiki/New_Age
[3] Interstrate.com, "Transhumanisme: le fond sectaire de la Silicon Valley [Prométhée et l’Apocalypse]", 
https://interstrate.com/2017/03/19/transhumanisme-le-fond-sectaire-de-la-silicon-valley-promethee-et-lapocalypse-2/
[4] Patricia Birman, 2008. « Croyances et appartenances : un débat français ». ethnographiques.org, Numéro 15 - février 2008
Les nouveaux mouvements religieux [en ligne], https://www.ethnographiques.org/2008/Birman - consulté le 19.08.2020


Prophéties et Conscience cybernétiques

Après les apôtres algorithmiques, la cybernétique a conquis le monde des prophéties, et est utilisée pour faire diverses prédictions.

Ainsi un logiciel prédictif, développé en 1997 appelé Projet WebBot qui était initialement prévu pour analyser les cours de la bourse et les anticiper, sert actuellement à faire des prédictions sur les évenements à venir. Les deux hommes à l'origine de ce projet de logiciel d'anticipation sont George Ure et Clif High, le concepteur du WebBot [1].

Ce logiciel aurait prédit les attentats du 11 septembre 2001 et d'autres évenements sociaux ou catastrophiques qui se sont déroulés ces dernières années. Il aurait même prédit la fin du monde pour 2012. Il se base sur le scrutage du web pour établir des rapports prédictifs.

Les prédictions sont présentées sous forme d'un rapport qui comporte des phrases courtes et peu explicites, en effet : "Les données du logiciel que Clif High a interprétées comme signes annonciateurs de la fin du monde sont qu'« un alignement en 2012 avec le plan elliptique de la voie lactée » aurait lieu et qu'une « énergie inconnue venue de l'espace » se manifesterait." [1].

Les prophéties relèvent donc plus de l'interprétation des données fournies par le logiciel que du résultat même de ses analyses. De plus, ces interprétations sont faites par le créateur du logiciel, Clif High, qui est le seul à pouvoir avoir accès aux résultats d'analyse du logiciel.



Webbot on History Channel - Doomsday 2012

Les analyses du logiciel WebBot sont orientées vers des prédictions eschatologiques de fin du monde et vise un public de contre-culture (partisants du changement et contestant le système politique) adepte des courants New Age et métaphysiques, ainsi : "Les postulats du WebBot reposent ainsi sur un mélange de contre-culture hippie et de culture technophile fortement marquées par la science et par l'ésotérisme du 19e siècle. Tout en recourant aux techno-sciences pour modéliser le futur, il repose sur des postulats métaphysiques prenant appui sur la physique quantique." [1].

Sur le plan conceptuel, le projet WebBot repose sur deux postulats : le premier est que les individus sont interconnectés entre eux de manière inconsciente dans une "noosphère", et le second est que les individus ont une faculté de préscience : "Le projet WebBot est par conséquent une recherche de l'influence du temps futur sur notre présent à travers la synchronicité des conversations. L'analyse de ces données tendrait à délivrer des avertissements, des indices sur les événements à venir." [1].

Le projet WebBot est, comme d'autres avancées technologiques, empreint d'un caractère religieux et eschatologique. En effet, comme nous le rappelle Cécilia Calheiros : "L’historien des sciences David Noble a montré que l’enchantement et la fascination que provoque la technologie sont souvent teintés de religiosité." [2].

Cette quête à caractère métaphysique de vie éternelle ou de crainte de la fin du monde s'est particulièrement développée dans la contre-culture nord-américaine. Ainsi un autre projet s'est développé dans les années '90 à l’Université de Princeton, le Global Consciouness Project [2].

Le Global Consciouness Project est un programme de recherche qui tente de prouver l’existence d’une conscience globale, un espace commun à nos pensées réunies et la faculté de l'esprit à agir sur la matière.

Ces préoccupations métaphysiques et de contre-culture californienne ont marqué le développement d'Internet et de la cybernétique : "Apparaît ainsi dans les années 1990, période marquée par la massification d’Internet aux États-Unis, la croyance selon laquelle ce média permettrait la création d’un « organe collectif conscient » transcendant les individus et leurs pensées." [2].


Projet Conscience Globale avec Roger Nelson


La technologie est envisagée comme un moyen de transfigurer l'humanité et de l'unifier pour arriver à un stade de développement humain supérieur et plus spirituel. Dans la contre-culture américaine des années '90 va naître l'idée qu'Internet et le cyberespace sont un moyen de rassembler les consciences des individus : "Ainsi, pour les membres de la cyberculture, en tant qu’espace d’échange, le cyberespace est la source de l’unification intellectuelle et spirituelle permettant une expérimentation « techno-transcendante » de la communauté." [2].

Cet espace d'échange que permet Internet est ce que Pierre Teilhard de Chardin, théologien appelle la "noosphère", ou sphère de la pensée humaine, qu'il définit comme une "pellicule de pensée enveloppant la Terre, formée des communications humaines" [2].

Mais cette utopie de conscience global permettant un passage vers une humanité unifiée spirituellement dans une fusion avec le cyberespace devriendra vite, au début des années 2000, une préoccupation plus pragmatique avec l'avènement d'une idéologie individualiste et consumériste qui la transfomera en projet d'anticipation assisté par ordinateur, comme dans le cas du projet WebBot.

Le Global Consciousness Project (GCP) avait pour objectif : "de montrer scientifiquement, mais à partir de postulats ésotériques, l’existence de la noosphère et de chercher à en mesurer les manifestations dans le monde physique afin de prouver que l’esprit peut influer sur la matière." [2].

Le Global Consciousness Project (GCP) est basé sur l'enregistrement par un "électrogaiagramme" des mesures de générateurs de nombres aléatoire (GNA) répartis dans le monde entier. Ainsi : "Les résultats sont mis en lien avec les événements sociaux, économiques ou écologiques qui se déroulent au même moment. Selon Roger Nelson, directeur du GCP, ces événements ont des effets significatifs sur les instruments de mesure. (...). Ce phénomène prouverait qu’il existe une corrélation entre les résultats du réseau de GNA et la « conscience humaine interconnectée à l’échelle mondiale »." [2].


The Science of Collective Consciousness | Roger Nelson | The Global Consciousness Project

Cette convergence des résultats des générateurs de nombres aléatoires serait due au fait que : "certains événements amènent les individus à penser aux mêmes choses et donc à partager de mêmes émotions. (...) Cette convergence est interprétée comme la preuve de l’interconnexion des consciences. Elle prouverait l’existence d’une synchronie des pensées et de leur influence au niveau quantique. Autrement dit, lorsque les individus pensent à la même chose, des effets sur le monde physique sont perceptibles, ici sur les séries de nombres générés de manière aléatoire." [2].

La conscience global existerait donc, et elle conforte la vision métaphysique, mystique et divinatoire des contres-cultures,  et cette idée que l'esprit peut modifier la réalité, que les prières fonctionnent. L'Homme pourrait donc influer sur le destin de l'humanité par son interconnexion spirituelle.



[1] Calheiros Cécilia, « La fabrique d'une prophétie eschatologique par la cybernétique : le cas du Projet WebBot », Raisons politiques, 2012/4 (n° 48), p. 51-63. DOI : 10.3917/rai.048.0051. URL : https://www.cairn.info/revue-raisons-politiques-2012-4-page-51.htm
[2] Cécilia Calheiros, « Cyberespace et attentes eschatologiques : comment les technosciences participent-elles à la croyance en une humanité spirituellement connectée ? », L’Atelier du Centre de recherches historiques [En ligne], 15 | 2015, mis en ligne le 25 novembre 2015, consulté le 20 août 2020. URL : http://journals.openedition.org/acrh/6680 ; DOI : https://doi.org/10.4000/acrh.6680


Possessions "cybernétiques"

Dans une société dans laquelle le smartphone, la wifi, la télé satellitaire, le gps, et même le bluetooth posent des questions quand à leurs effets sur la santé, s'est développé un regein d'intérêt pour les questions mystiques, esotériques, et autres.

Après plusieurs séries de films et autres brevages télévisuels de seigneur et ses mondes maléfiques et feériques, de croyances paranormales, nous sommes confrontés à un message paradoxale qui n'est autre que : soyer crédules mais hi-tech !

La possession

La possession est définie comme étant : "une situation au cours de laquelle une personne est considérée comme étant habitée par une ou plusieurs entités surnaturelles (divinité, esprit, ancêtre, démon, etc.)." [1].

L'antrophologie nous apprend qu'il existe de nombreux types de possessions dans diverses cultures : "Il s'agit le plus souvent d'un esprit ou d'une divinité qui choisit d'investir le corps d'un être humain lors d'une cérémonie." [1].

Lors de ses possessions les personnes entrent en transe et : "adopte un comportement social différent d'ordinaire et reconnu par les dévots comme la manifestation de l'entité surnaturelle." [1].

La transe est le fait que la personne entre dans un état second, un état modifié de conscience, dans un contexte social particulier (cérémonies, etc.), en appliquant des techniques particulières, ainsi : "La transe résulte de moyens « techniques » particuliers : danse rotative (Danse circulaire), accompagnée de musique percussive ou à tendance obsessionnelle, hyperflexion ou hyperextension du cou, pression sur les globes oculaires et fermeture des paupières, manœuvre de Valsalva, usage de certains procédés sonores, jeûne, respiration accélérée (hyperventilation, rebirth), usage éventuel de psychoactifs comme les plantes enthéogènes, échauffement collectif, etc." [2].

Ainsi dans diverses cultures existent des rites de possession, comme en Afrique avec le zebola, le zār, ou dans la culture vaudou, umbanda ou candomblé au Brésil.

Le thème de la possession est abordé dans les religions monothéistes. Ainsi dans le Judaïsme, l'individu peut être possédé par un dibbouk, tout comme dans le Christianisme et l'Islam où les personnes peuvent être possédées par des esprits maléfiques, des démons ou des djinn.

Dans le Spiritisme, les esprits, bons ou mauvais, peuvent parfois entrer en possession d'une personne ou d'un médium de façon temporaire, ainsi : "L'Esprit en possession momentanée du corps, s'en sert comme du sien propre; il parle par sa bouche, voit par ses yeux, agit avec ses bras, comme il l'eût fait de son vivant." [1].

Ainsi si l'esprit est mauvais, il possède la personne par méchanceté : "Il le fait par méchanceté envers celui-ci, qu'il torture et martyrise de toutes les manières, jusqu'à vouloir le faire périr, soit par la strangulation, soit en le poussant dans le feu ou autres endroits dangereux. Se servant des membres et des organes du malheureux patient, il blasphème, il injurie et maltraite ceux qui l'entourent ; il se livre à ces excentricités et à des actes qui ont tous les caractères de la folie furieuse." [1].

Les expériences de possession sont abordées par la médecine psychiatrique comme des symptômes d'une maladie mentale, ainsi : "La psychiatrie considère les cas d'exorcisme avec une vision rationaliste. Selon elle, tous les symptômes peuvent provenir d'une maladie mentale telle que la schizophrénie, le trouble dissociatif de l’identité, la paranoïa ou bien la mégalomanie." [1]. 

D'autres formes d'esprits remontants à la civilisation mésopotamienne sont les incubes et les succubes.

Ainsi un incube est : "un démon mâle qui prend corps pour abuser sexuellement d’une femme endormie." [3].

La médecine moderne y voit plus une production fantasmatique ou des délires psychotiques et hallucinatoires : "La psychiatrie moderne fait de l'incube une représentation imaginale de troubles nocturnes liés à une déviance libidinale." [3].

L'incube est lié aux cauchemars et aux troubles du sommeil. 

Le succube est le contraire de l'incube, c'est : "un démon qui prend la forme d'une femme avec des ailes et une queue pour abuser sexuellement d'un homme durant son sommeil et ses rêves." [4].

Les différentes religions et cultures du monde connaissent donc le phénomène des possessions, elles ne sont pas nouvelles et sont déjà présentes dans l'Antiquité.

Depuis les années '60 diverses expériences de manipulation mentale et physique ont été entreprises tant par les Etats-Unis que la Russie. Les recherches portaient sur le développement d'armes à ultrasons ou à micro-ondes pouvant avoir des effets sur le cerveau ou sur le corps des personnes visées. Ce sont les armes psychotroniques ou armes à energie dirigée.

Ces armes développées notamment par des chercheurs comme Joseph C. Sharp dans les années '70, semblent avoir des effets similaires aux symptômes de possession.



(https://www.outerplaces.com/science/item/18336-washington-fusion-center-psychotronic-weapons)


Ainsi, ces armes psychotroniques auraient des effets, entre autres, sur les rêves, provoqueraient des oppressions de la poitrine, et stimuleraient les zones génitales. Elles permettraient de faire entendre des voix et de donner l'impression d'être possédé par des esprits ou des démons.

La technologie aurait-elle donc rejoint la mythologie et la religion ? Si ces armes psychotroniques, et à la vue des nombreux témoignages disponibles sur le Net, sont effectivement utilisées pour simuler des possessions, des esprits maléfiques, des incubes ou des succubes, nous serions devant une pure et simple manipulation par leurs auteurs des croyances collectives qui ne pourrait être qualifiée d'autre que d'escroquerie à la religion et aux cultes.



[1] Wikipédia, "Possession_(anthropologie)", https://fr.wikipedia.org/wiki/Possession_(anthropologie)
[2] Wikipédia, "Transe", https://fr.wikipedia.org/wiki/Transe
[3] Wikipédia, "Incube", https://fr.wikipedia.org/wiki/Incube
[4] Wikipédia, "Succube", https://fr.wikipedia.org/wiki/Succube




Licence Creative Commons Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International


Retour




Les associations et Asbl (association sans but lucratif) sur Social Square



Bienvenue sur Cybersociety - La société cybernétique
Ce site utilise des cookies. En poursuivant votre visite, vous acceptez leur utilisation.
Accepter
Refuser
Fermer